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Translations:Context en DSM/20/fr: verschil tussen versies

Uit Context Thinking
AMvdHeyden (overleg | bijdragen)
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AMvdHeyden (overleg | bijdragen)
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Le seul domaine qui a donné des informations est la génétique.
Le seul domaine qui a produit des connaissances est la génétique.
Il montre que chaque être humain a des milliers de variantes génétiques qui sont impliquées dans la souffrance psychologique.
Il en ressort que chaque être humain possède des milliers de variants génétiques impliqués dans la souffrance psychique.
Ces variantes se produisent dans l’autisme, la dépression, le borderline, la schizophrénie, le trouble bipolaire, ... et se chevauchent largement (environ 70 %).
Ces variants sont présents dans l'autisme, la dépression, le trouble de la personnalité borderline, la schizophrénie, le trouble bipolaire, et se chevauchent largement (environ 70 %).
Conclusion : la génétique de la souffrance psychologique est en fait la génétique de l’être humain, et plus précisément de notre capacité à réagir avec sensibilité à l’environnement.
Conclusion : la génétique de la souffrance psychique est en fait la génétique de l'être humain, et plus spécifiquement notre capacité à réagir avec émotion à l'environnement.

Huidige versie van 25 sep 2025 10:27

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Berichtdefinitie (Context en DSM)
Het enige vakgebied dat inzichten opleverde is de genetica.  
Daaruit blijkt dat ieder mens duizenden genetische varianten heeft die betrokken zijn bij psychisch lijden.  
Deze varianten komen voor bij autisme, depressie, borderline, schizofrenie, bipolaire stoornis, … en zijn grotendeels overlappend (ongeveer 70%).  
Conclusie: de genetica van psychisch lijden is in feite de genetica van het mens-zijn, en meer specifiek onze capaciteit om met gevoel te reageren op de omgeving.

Le seul domaine qui a produit des connaissances est la génétique. Il en ressort que chaque être humain possède des milliers de variants génétiques impliqués dans la souffrance psychique. Ces variants sont présents dans l'autisme, la dépression, le trouble de la personnalité borderline, la schizophrénie, le trouble bipolaire, … et se chevauchent largement (environ 70 %). Conclusion : la génétique de la souffrance psychique est en fait la génétique de l'être humain, et plus spécifiquement notre capacité à réagir avec émotion à l'environnement.