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Comment les différences de sensibilité au contexte se traduisent par une vulnérabilité et des diagnostics en santé mentale.
- Le DSM comme système de classification – décrit les symptômes, mais ne les explique pas
- Effet miroir dans les soins – comment des malentendus apparaissent lorsque soignant et patient/client pensent différemment
- Pensée de premier degré très rigide – rigidité et pensées obsessionnelles pouvant aboutir à une psychose ou une schizophrénie
- Autisme – l’origine du concept de cécité contextuelle, et les limites des stéréotypes DSM
- Troubles de la personnalité – styles de pensée envahissants et comment la cécité contextuelle peut expliquer certains schémas
- Surstimulation – les personnes à faible contexte perçoivent davantage et s’épuisent cognitivement plus vite
- Trouble obsessionnel-compulsif (TOC) – cercle vicieux d’obsessions et de compulsions lié à une pensée de premier degré
- Problème de confiance de base – la confiance exige du contexte, des perspectives et des lignes temporelles
- Burn-out et dépression – épuisement dû au décalage entre capacité contextuelle et environnement
- TDAH – chevauchement dans le traitement des signaux et pourquoi les doubles diagnostics sont fréquents
- Empathie et styles de pensée – pourquoi l’empathie est plus que réagir émotionnellement
- Davantage de diagnostics par moindre contextualisation – pourquoi une société sans contexte colle plus rapidement des étiquettes
- Sensibilité au contexte et hérédité – base génétique et dynamiques familiales
- Personnes à haut contexte comme aidants – des bâtisseurs de ponts qui vont souvent trop loin et risquent le « caretaking »
- Accompagnement et traitement – apprendre la vulnérabilité, pratiquer des activités et parfois recourir à la médication