Est-ce vraiment mentir ?

Mentir suppose une intention de tromper et une conscience des conséquences. Chez les personnes autistes, ce second aspect manque souvent : elles perçoivent moins bien le contexte global et les effets à long terme. Le comportement résulte donc plutôt d’une intégration contextuelle limitée que d’un manque d’honnêteté ou de volonté morale.